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Les entrailles déchirées
Une douleur perfide nichée en plein coeur
Quelque chose entrave mon bonheur
Pourquoi faut il toujours en baver
N'ai je pas le droit d'être comblée
Faut il toujours que je me sente incomplète
La plaie est impossible a refermer
Tout se bouscule dans ma tete
Chaque jour qui passe
La tristesse s'entasse
Tel un tas de chair en putréfaction
Mon coeur attend son extrême onction
On fini par se dire qu'on est né pour souffrir
On fini par se dire que le bonheur n'est pas pour nous
La mélancolie bien tapie dans son coin finie par nous envahir
On fini par ne pas valloir mieux qu'un vieux bout de mou
Peut on avoir mal à en crever
Ou la douleur finit elle par s'estomper
Quand elle est si présente
Elle ne deviendra jamais latente
Chaque jour qui passe
On sert les dents
On attend que ça passe
Mais rien n'attenue ce tourment
Telle une bête tapie
Elle ronge de manière imperceptible
Du bonheur elle en fait de la charpie
Et laisse une traînée de tristesse inaudible
Ce tourment perpétuel
Sait se faire oublier
Mais revient toujours de plein fouet
Et nous met face a nos doutes les plus réels
On peut faire taire cette douleur
Mais il faut se lever de bonne heure
Et parfois malgré qu'il ne devrait pas en avoir le droit
Il faut laisser à l'autre ce choix
S'en remettre sans défense
Au choix qui peut être une offense
Ou venir comme une délivrance
Stopper cette souffrance
Une douleur perfide nichée en plein coeur
Quelque chose entrave mon bonheur
Pourquoi faut il toujours en baver
N'ai je pas le droit d'être comblée
Faut il toujours que je me sente incomplète
La plaie est impossible a refermer
Tout se bouscule dans ma tete
Chaque jour qui passe
La tristesse s'entasse
Tel un tas de chair en putréfaction
Mon coeur attend son extrême onction
On fini par se dire qu'on est né pour souffrir
On fini par se dire que le bonheur n'est pas pour nous
La mélancolie bien tapie dans son coin finie par nous envahir
On fini par ne pas valloir mieux qu'un vieux bout de mou
Peut on avoir mal à en crever
Ou la douleur finit elle par s'estomper
Quand elle est si présente
Elle ne deviendra jamais latente
Chaque jour qui passe
On sert les dents
On attend que ça passe
Mais rien n'attenue ce tourment
Telle une bête tapie
Elle ronge de manière imperceptible
Du bonheur elle en fait de la charpie
Et laisse une traînée de tristesse inaudible
Ce tourment perpétuel
Sait se faire oublier
Mais revient toujours de plein fouet
Et nous met face a nos doutes les plus réels
On peut faire taire cette douleur
Mais il faut se lever de bonne heure
Et parfois malgré qu'il ne devrait pas en avoir le droit
Il faut laisser à l'autre ce choix
S'en remettre sans défense
Au choix qui peut être une offense
Ou venir comme une délivrance
Stopper cette souffrance